Armée d’un canon d’une puissance de 2 500 bars, d’un tablier et d’une visière, la personne en charge de l’hydrodémolition attaque le béton. Les aciers ne sont pas coupés, et le béton est creusé proprement. L’hydrodémolition permet l’absence de vibrations et la non-destruction des structures métalliques. Ce qui ne peut être détruit à la pince peut l’être à l’eau : nous sommes par exemple, en pleine démolition de plancher de 60cm d’épaisseur.
Le bémol : cela fait beaucoup de bruit. Nous nous sommes adaptés avec la mise en place de bâches anti-bruit acoustiques et nous testons une « bouée » acoustique sur le chantier, à l’intérieur de laquelle l’hydrodémolisseur travaille. Nous avons aussi aménagé les plannings de d’hydro démolition pour déranger le moins possible les riverains et les compagnons du chantier.
Cette phase durera jusqu’en mars. Prochaine étape : l’hydrodémolition pour les poutres et les planchers.
