1/ Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
François Parthenay, 40 ans, union libre, 2 petits garçons Vincent et Anthony respectivement 4 ans et 6 mois.
2/ Pouvez-vous vous résumer votre parcours professionnel ?
Je me rappelle encore cette annonce sur les murs de l’ESTP pour un stage de dernière année concernant une étude de marché à Rehaby (qui faisait partie de l’habitat chez BY BAT) sur « l’avenir de la réhabilitation des logements sociaux en Ile-de-France pendant les 5 prochaines années ». Un sujet commercial qui me semblait intéressant, surtout après les étés que j’avais passé en stage sur les chantiers. C’est ainsi que j’ai fait mes premiers pas dans la réhabilitation en tant que stagiaire dans une direction commerciale, pour ne plus jamais la quitter jusque-là.
En 2004, avec le rapprochement des métiers de la réhabilitation chez BY BAT, j’ai tout naturellement suivi la structure Rehaby, qui intégrait alors les équipes de Brézillon Rénovation Sociale que nous concurrencions à l’époque.
Depuis 2001, je reste passionné par le monde de la réhabilitation du patrimoine existant, par le sentiment que me donne la pierre qui a vécu une histoire. J’ai toujours développé une forte volonté de faire du commerce tout en restant accroché aux bases de la technique, indissociable de la fonction commerciale.
3/ Pourquoi avoir choisi de rejoindre Rénovation Privée ?
Après quinze belles années passées dans la réhabilitation de logements sociaux, notamment avec la spécificité de réaliser des travaux en site occupé, j’avais envie de continuer mon parcours dans le commerce de la réhabilitation sur des patrimoines de qualité comme ceux que j’ai pu étudier pour la RIVP, la SAGI ou la Cogedim, mais dans un autre produit. Tout naturellement mon regard s’est tourné vers Rénovation Privée.
4/ Quelle était l’image que vous aviez de REP ? Quel est votre rapport d’étonnement après ce premier mois ?
Sans distorsion aucune, j’avais l’idée d’une structure capable de réaliser des projets dantesques avec un niveau d’exigence très élevé dans des contextes parisiens à la fois contraints et prestigieux. Réalisant aussi chez Brézillon beaucoup de chantiers intra-muros dans des dents creuses, j’étais habitué aux sites contraints mais pas à ces chiffres d’affaires.
Mon premier sentiment est que le timing des opérations pour des clients privés est bien plus soudain que celui des opérations en appel d’offres public réglementé – les enjeux n’étant pas pour autant moins importants bien au contraire. Il faut donc plus de réactivité, mais cela implique néanmoins de la sérénité dans les décisions à prendre et le maintien d’une analyse poussée sur les risques encourus.
5/ Quels sont vos objectifs ? Que pensez-vous pouvoir apporter de nouveau ou de différent ?
Depuis 15 ans, j’ai voué du temps à la fois à mes collaborateurs et au commerce.
Je souhaite poursuivre l’accompagnement de mes collaborateurs dans leur développement personnel au sein de l’entreprise. Il faudra donc continuer à travailler ensemble leurs qualités pour les magnifier et se pencher sur leurs vecteurs de progrès pour en faire leurs qualités de demain. C’est un travail de chaque jour, un travail hautement collaboratif, un travail de proximité mais qui porte ses fruits sans aucun doute.
Je continuerai aussi à faire du commerce. A mon sens le commerce, c’est avant tout l’empathie et l’écoute. C’est être à côté de nos clients dans leurs choix et les conseiller, sans forcément étudier systématiquement leurs opérations pour obtenir des taux de réussite médiocres et engorger le système par des perspectives aléatoires. Tous les acteurs de la direction commerciale viseront donc un ciblage fort pour un maximum de réussite tout en visant la satisfaction de nos clients et de fait la nôtre.